« À chacun son sommeil » : une campagne nationale de communication digitale inédite
L’année 2020 restera dans les mémoires avec la pandémie Covid-19 qui a perturbé la vie sociale, économique et politique de tous les pays du monde.
Avec cette crise sanitaire, de plus en plus de Français se plaignent de stress, d’anxiété et de troubles du sommeil, notamment d’insomnies. Le confinement et la généralisation du télétravail ont augmenté l’isolement de tous et impacté notre qualité de vie personnelle et professionnelle. À terme, c’est notre santé physique et morale qui est en danger, d’où l’intérêt majeur de faire de la prévention.
À situation exceptionnelle, communication exceptionnelle !
Après le vif succès des précédentes éditions, le laboratoire PiLeJe, avec le soutien de France Insomnie, lance en mars 2021 une édition digitale inédite de sa campagne nationale « À chacun son sommeil ».
L’objectif de cette campagne est triple :
– Informer le grand public sur les conséquences des troubles du sommeil ;
– Éduquer chaque Français à une prise en charge individualisée ;
– Accompagner les patients du lever au coucher afin d’appréhender différemment le sommeil et ses différentes problématiques.
Durant tout le mois de mars 2021, nous vous invitons à suivre cette campagne de sensibilisation ponctuée de nombreux rendez-vous avec des professionnels de santé.
Voir les différentes animations dans notre agenda du mois de mars
Suivre la campagne en live sur le site www.achacunsonsommeil.fr
Les troubles du sommeil, un vrai problème de santé publique
Lors de la conférence de presse annonçant cette campagne nationale de communication, Jean-Marc Loison, président de France Insomnie, a rappelé combien il était important pour son association de soutenir une telle action, car elle va tout à fait dans le sens de l’une des missions de France Insomnie : sensibiliser le grand public aux nombreux troubles du sommeil, surtout en pleine période de crise sanitaire, couvre-feu et autres confinements à répétition.
« Depuis le premier confinement de mars 2020, nous avons vu évoluer la typologie des insomniaques qui nous contactent, devait-il préciser. Plus souvent, ce sont des personnes relativement jeunes qui se plaignent de très mal dormir ou même d’avoir perdu le sommeil. Ce ne sont pas encore de véritables insomniaques, mais nous devons nous mobiliser pour que ces symptômes ne se transforment pas en pathologies chroniques. En conséquence, l’une de nos priorités est de sensibiliser et alerter les pouvoirs publics, les élus, etc. En pleine période de crise sanitaire, nous ouvrons le débat sur une thématique chère à France Insomnie : les troubles du sommeil, un vrai problème de santé publique que personne ne voit venir ou ne veut voir en face. »
Et de conclure qu’à défaut de pouvoir tenir les permanences « France Insomnie à votre écoute » en présentiel compte tenu du contexte sanitaire, celles-ci se tiennent dorénavant en visioconférence, chaque 3e jeudi du mois, et remportent un vif succès : « Les patients insomniaques ont un véritable besoin d’écoute et d’échange. »
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